Nous sommes en juin 2019, plus de deux ans après #MeToo, la fameuse « libération de la parole », ou plutôt le développement d’une écoute de ces paroles sur l’ampleur du sexisme et les violences sexuelles qui en découlent. Nous sommes trois ans après le début de l’affaire Baupin, deux mois après le verdict qualifié « d’historique ». Depuis, il y a eu les révélations au sein du MJS, celles du Mouvement jeunes communistes de France, de la Ligue du LOL, les universités, la Mairie du Havre… Et pourtant, en matière de violences sexuelles, on continue encore et toujours à enjoindre les femmes à porter plainte ou à se taire, on continue à reporter les responsabilités sur les victimes, toujours ces mêmes silences, la même omerta.
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